dimanche 25 avril 2010

Moi, ma vie et mes ennuis ... euh mon ennui ...

Bon aller, soyons fous, en ce beau dimanche ensoleillé je vais vous parler de moi, c'est intéressant hein ^^

En fait, j'ai envie d'écrire mais je n'ai aucun sujet intéressant en ce moment sous la dent pour alimenter ce blog. Hormis peut-être la lutte acharnée que je mène sur un forum pour expliquer aux gens qui se plaignent sans arrêt de leurs conditions de travail, que les français sont les mieux lotis au monde et pourtant les plus feignants et les plus plaintifs, ce que je trouve très problématique, voire anormal, avec mon œil avéré de capitaliste parfaitement incapable de tout sentiment d'empathie, éducation protestante oblige 8pour le capitalisme, l'empathie c'est juste parce que je suis insensible à la piètre condition humaine). Mais ce sujet pouvait heurter la sensibilité de nombreux blogueurs (puisque je m'adresse essentiellement à des blogueurs français, je ne le traiterais pas, du moins pas aujourd'hui. Mais si vous insistez, je pourrais écrire un article dessus et nous pourrions sans problème en débattre c'est à votre guise.

Sinon de mon coté, j'ai une petite liste de choses qui se se produisent dans ma vie à vous conter :

- Je suis enfin en vacances pour une petite semaine et ce n'est vraiment pas trop tôt, je commençais à me languir sérieusement. Puis avec le cumul que je faisais entre boulot d'étudiant et études elles-mêmes j'étais vraiment surbooké et j'avais complètement retiré les vacances de ma vie, jusqu'à mercredi dernier. Leur retour fait un bien fou (j'ai arrêté de bosser comme un dingue aussi, fini le cumul je me consacre en priorité à mes études). Et en plus, le soleil est de la partie, mais que demande le peuple.

- Hier j'ai été faire du shopping car je m'ennuyais ferme chez mes parents, au fin fond de la campagne bretonne où j'ai perdu l'habitude de vivre. Alors je me suis offert avec ma maman (c'est y pas mignon) une petite virée en ville, histoire que ce soit sa carte bleue qui soit chargée de renflouer mon dressing et non la mienne. Résultat des courses, deux jolies chemises parfaites pour l'été, un jean et une paire de chaussures, elles aussi estivales. J'aime quand je vois mes placards se remplir et mon compte en banque stagner.

- J'ai aussi décidé de me remettre aux jeux vidéo (pour le meilleur et pour le pire), et comme j'avais pris pas mal de retard, j'ai décidé d'acheter en occasion (oui car bizarrement, la carte bleue de maman s'est enfuie au pas de course) les deux Assassin's Creed. Ces jeux sont de pures merveilles, je peux vous le garantir, puis au moins Call of Duty Modern Warfare 2 et Forza 3 se sentent moins seuls au coté de ma Xbox (et oui, c'est un cadeau tout récent, qui date de Noël dernier et je n'ai que trop peu de sous pour acheter des jeux, puis trop peu de temps pour y jouer).

- De plus, en parlant de la Xbox, ma mère a entrepris elle aussi de commencer une partie d'Assassin's Creed, trouvant le jeu très beau et intéressant (passionnée d'histoire, il lui a semblé fort intéressant de faire un comparatif entre fiction et réalité) et depuis tout à l'heure elle s'énerve sur la console.

- Ce matin je me suis pesé. Ça faisait longtemps que je ne l'avais pas fait et pour tout vous dire, je ne m'attendais pas à des résultats très positifs, mais il faut croire que mon overdose de sucre de la semaine dernière a été payante. J'ai pris 500 grammes. Pour beaucoup ca peut paraitre peu, mais pour moi, c'est déjà une belle victoire et je ne suis pas mécontent de l'avancement du projet "Fuck Anorexia" (non très personnel que j'ai donné à mon régime grossissant).

- D'ailleurs au sujet des régimes, il m'arrive parfois de me dire que le net m'en veut, car quand je me promène un peu sur la toile, je n'ai droit qu'à des pubs de régimes pour MAIGRIR. Non mais oh, ils veulent me déprimer ou quoi. Maudits automates publicitaires va !

Bon je crois que j'ai assez causé pour aujourd'hui, puis il faut bien que j'en garde un peu pour les prochaines fois. Notamment, ce que mes chats font, car je ne vous ai pas encore parler de l'amour démesuré que voue à mes chats ...

Donc sur ce je vous souhaite une bonne fin de dimanche et à ce qui bosse une joyeuse reprise lundi matin.

jeudi 22 avril 2010

La censure existe-t-elle toujours ?

J'ai lu il y a peu de temps un article très intéressant, que je vous laisse découvrir ici, publié par Télérama, et qui traite des nouveaux censeurs dans le monde de l'information et notamment à la télévision. Sur le coup, j'ai été un peu choqué d'apprendre que la censure était encore un sujet d'actualité, puis réflexion faite j'en suis venu à la conclusion que c'était bel et bien le cas.

Au fond, les médias diffusent sans cesse les mêmes informations, les mêmes sujets et je suis forcé d'avouer que je ne vois plus à la télévision de vrais sujets d'économie, s'attaquant aux façons de faire peu scrupuleuses des grandes firmes, ou encore de vrais sujets de politique, amorçant un débat d'idées et non une stupide gué-guerre entre deux figures politiques avec pour principal sujet "Qui est le mieux habillé ce soir ?" (c'est caricatural, mais disons que c'est ce que les débats politiques deviennent). C'est dommage d'ailleurs que les médias en soient venus à s'autocensurer pour ne pas froisser les politiques (charismatiques) qui font de l'audiance, ou encore leurs actionnaires, mais surtout que les chaines de télévisions (surtout privées) soient à ce point contraintes de se pilier aux règles des gros annonceurs.

Oui, ils ont leur importance, mais de là à taire une information importante pour leurs beaux yeux, je ne suis pas d'accord. À ce sujet, l'article est bien plus explicite que moi et je vous invite donc à le lire, mais sincèrement, je commence à vraiment douter des libertés dans ce pays (pourtant berceau des droits de l'homme). Si tout devient une affaire de gros sous, on est pas près d'enterrer la dite censure.

Puis en parlant de libertés, on pourrait aussi parler des droits des individus, sur les routes, chez eux, dans les lieux publics, du grand principe de précaution (devenu ridicule) et de la grande mode du politiquement correct. De nos jours, on ne peut plus boire, plus fumer et même plus désigner un aveugle par le mot aveugle, ou un noir par sa couleur de peau. La folie du politiquement correct, c'est hypocrite (ouaip, moi j'vous l'dis). Je dérive un peu du sujet initial, je sais, mais un blog est aussi fait pour ca. Au fond, cela ne revient-il pas au même que ce soit les médias qui se censure dans leurs émissions culturelles, ou nous-même qui nous censurons en n'osant plus appeler un chat un chat ? Je me pose peut-être trop questions, mais ne trouvez-vous pas, vous aussi qu'il y a un truc qui ne tourne plus très rond dans tout ca ? Où va donc cette censure du bien-pensant ?

lundi 19 avril 2010

Retour en enfance

Généralement, je ne regarde pas la télé, mais je dois avouer que mon weekend n'a pas vraiment été reposant et que cette première journée de la semaine m'a quant à elle achevée. Heureusement que mes vacances arrivent enfin. Encore quelques jours et je pourrais goûter à la fainéantise pendant une semaine tout entière. Jeu vidéo, internet à outrance et repos bien mérité au fond de mon lit, au moins jusqu'à midi. Car si je ne peux plus faire la grasse matinée en vacances quand pourrais-je donc la faire.

Enfin je vous parlais donc de la télé. Comme je l'énonçais, je ne regarde quasiment jamais la télé, elle me sert plutôt de bruit de fond, mais ce soir, dans un moment de solitude je présume, j'ai décidé de regarder Arte. C'est toujours cette chaine que je choisi quand j'ai le mal du pays et que je me sens complètement dépaysé. À vrai dire, c'est la seule chaine allemande que j'ai trouvé en France, étant limité dans mes choix par la TNT. Je pensais regarder un bon vieux téléfilm allemand (qui avouons le, ferait honte à tous les cinéphiles de la blogosphère), mais après avoir regardé la fin d'une émission culinaire allemande, nous régalant de bons petits plats autrichiens (qui n'arrivait pas à la cheville de la gastronomie française, mais qui néanmoins me semblaient fort appétissant), j'étais surpris d'apprendre que le film du soir était "Princesse Mononoke".


Durant ma courte vie, c'est probablement le plus beau film que j'ai vu et décidément je ne m'en lasse pas. Depuis que j'ai commencé à écrire ce billet, je me laisse bercer par les somptueux dessins ,qui donne à ce film toute sa grandeur et par la divine musique, qui enfin réussi à apaiser mes oreilles, qui avait du mal à se remettre du brouhaha de l'amphi de tout à l'heure. Sincèrement, je pense que ce Hayao Miyazaki est un vrai génie. Je me suis toujours demandé comment un homme pouvait être capable d'une telle imagination et comment par ailleurs pouvait-il transmettre tant de féerie et de magie à travers ces films. Je ne les ai pas tous vu, mais aussi loin que je puisse m'en souvenir, j'avais adoré "Mon voisin Totoro", "Nausicaä de la vallée du vent", ou encore "Le voyage de Chihiro" étant plus jeune. Et aujourd'hui je redécouvre, à la fois avec stupeur et plaisir, ces grands classiques qui ont contribués à mes rêves d'enfant. Je n'ai qu'un seul regret, ne pas avoir eu vent plus tôt qu'Arte diffusait la plupart des films de Miyazaki. Mais bon j'aurais au moins le plaisir de savourer Mononoke ce soir.

Heureusement qu'il n'y a pas d'âge à avoir pour regarder et savourer les dessins animés. Finalement, notre enfance n'est pas si loin de nous et je me complais dans cette situation. J'espère que dans mes vieux jours, je saurais encore capable de décrypter et d'admirer la magie diffusée par les dessins animés, et de me laisser transporter par leurs douces musiques.

vendredi 16 avril 2010

Un petit kilo

Les premières semaines ont étés les plus difficiles, gavé comme une oie dans un hôpital j'ai trouvé le moment un peu dur, mais aujourd'hui c'est passé et ma santé ne repose plus que sur mes épaules. Donc comme je le disais, à la suite de ca, j'ai décidé de voir une nutritionniste, qui à force de conseils m'a permit de gagner 8 kilos et ainsi de me stabiliser un IMC encore terrorisant de 14,9. J'aimerais arriver aux alentour de 50-55kg même si je peux, ce qui correspondrait à un IMC entre 16,9 et 18,6 (le 18,6 étant idyllique car il me ferait passer dans la classe corpulence normale.

Si dans le premier article où j'en avais parlé, je me refusai à véritablement parler d'anorexie c'est pour plusieurs raisons : tout d'abord parce que j'ai conscience du problème et que malheureusement, je n'en suis pas le maitre. Je ne me suis jamais trouver gros, mais le stress, la fatigue et tout le reste influent considérablement sur mon organisme et sans même m'en rendre compte, je mange moins, je maigri.

Ensuite, je n'ai pas voulu le dire car pour je fais énormément d'effort pour la combattre et que prononcer simplement ce mot me déprime au plus haut point. J'ai la force et la volonté, je sais que je peux y arriver, malgré les visiblement réticences de mon corps. Comme je vous le disais, je fais beaucoup d'efforts, je contrôle depuis des moins scrupuleusement mon poids, je m'efforce de suivre une sorte de régime, que ce soit d'un point de vue quantité ou encore équilibre de mes repas. Après plusieurs mois de travail acharné, j'ai réussi à prendre quelques précieux kilos qui me réchauffent le cœur et chaque jour, je me rappelle le chemin parcouru pour me donner du courage.

Je vous tiendrais au courant dans ce blog car c'est vraiment quelque chose de très important pour moi et que j'avais à la fois envie et besoin d'en parler.

jeudi 15 avril 2010

Alice in Wonderland

Hier j'ai été voir "Alice aux pays des Merveilles". Depuis le temps que je voulais y aller, il était temps pour moi de me bouger. Pour en revenir au film, j'ai beaucoup aimé, j'ai trouvé les décors fabuleux, somptueux même, et la musique splendide. Le scénario ne m'a pas plus emballé que ca, j'aurais pensé que pour un Burton, le film serait plus noir, mais j'ai été forcé de constater que Disney avait bien laissé sa trace sur le film. Cependant, j'ai beaucoup aimé les personnages et j'ai trouvé très intéressant le fait que l'histoire se soit recentrée sur le chapelier, délaissant le chat du Cheshire, qui était traditionnellement un des éléments clés du roman de Caroll.

J'aime quand le cinéma ce permet ainsi de réinterpréter les grands livres dont ils s'inspirent. Ici le scénario, bien que n'étant pas époustouflant à l'avantage de sortir des chemins battus et ca m'a beaucoup plus. Après tout, c'est le propre du cinéma de réinterpréter les livres, les grands classiques et les légendes. Les pâles adaptations d'une œuvre sont pour moi les moins réussi. Le cinéma est un art à part entière alors pourquoi lui demander de plus en plus souvent d'adapter de façon morose les grands classiques de la littérature. S'en inspirer est une bonne chose, mais il est essentiel aussi de les transformer et j'ai trouvé qu'Alice remplissait bien ce rôle.

Cela dit, je n'ai pas compris l'intérêt de certains éléments, comme par exemple la petite danse de Johnny Depp en fin de film. Enfin globalement ca m'a bien plus, même si je n'ai pas pu le voir en 3D à cause ma vue (en même c'est ridicule pour un borgne de tenté la 3D).

Cela m'a amené à m'interroger sur le manque de créativité qui touche ces derniers temps le monde du cinéma. Tous les films qui sortent étaient auparavant des livres et ils ne sont même pas réinterpréter. Suis-je donc le seul à trouver tout cela dommage ? Comme je le disais plus haut, les films manquent de réinterprétation aujourd'hui et je m'en désole. Mais bon ca ne m'empêchera pas de retourner au cinéma.

dimanche 11 avril 2010

Ca rime à quoi ?

Il y a des jours comme ca où je demande bien à quoi rime ma vie, même une vie au sens plus large ? Chaque, jour nous nous battons pour le meilleur, pour toucher du bout des doigts un bonheur éphémère ou inexistant, utopique et illusoire. De son coté la vie se joue bien de nous, insolente elle ne cesse de nous briser. Alors sincèrement je me demande bien à quoi elle nous mène, quel est le but du jeu ? Au fond, quelque soit nos vies, nos actes, qu'ils soient bon où mauvais, la fin qui nous attend est pour tout le monde la même, le bilan est nul et pour tout le monde le même. Alors à quoi bon se donner tant de mal ?

Les gens disent souvent que la vie est belle, mais au fond elle n'est qu'égoïste et souveraine, se moquant bien de nos combats.

vendredi 9 avril 2010

Coup de blues

Le soleil de cet après-midi et le chant des oiseaux m'ont vraiment donné le sourire aujourd'hui. Mais à la nuit tombée, le constat est toujours le même, mes rêves d'évasion n'y ont rien changé, mes craintes sont toujours là et mon faible poids avec. Certains parle d'anorexie, mais je ne suis pas d'accord. Je fais de gros efforts pour prendre quelques grammes futiles et au bout de un moment je fini toujours par me résigner. Je ne suis pas plus fort que la nature et que de toute façon, je n'y peux pas grand chose. Mais bon, je ne compte pas pour autant baisser les bras, j'y crois, j'y crois et pour cette simple raison je me refuse à parler d'anorexie.

Après les gens seront toujours libres de ne me juger que par mon apparence physique, de ne jamais aller voir plus loin. Libre à eux de décréter que mon poids fait de moi un anorexique, que ma couleur de cheveux me rend plus idiot que la moyenne ... mais bon rien de cela ne les mènera bien loin.

D'ailleurs j'en ai assez d'être sans cesse juger. Je peux comprendre que porter un jugement soit quelque chose d'humain, mais d'un autre coté n'est-ce pas inhumain de porter tant de jugement hâtifs et blessants. enfin bon je ne vais pas refaire le monde ce soir, mais parfois je donnerais beaucoup pour avoir un autre corps et échapper de ce fait à la bêtise humaine.

C'est le printemps


Les oiseaux chantent, le ciel est bleu et un grand soleil traverse mes fenêtres. Les arbres fleuris au dehors sentent bon le printemps et tout ca me met de bonne humeur. J'adore passé des longues journées sur le rebord de ma fenêtre à prendre le soleil. C'est quand même le meilleur moyen de s'évader en attendant patiemment les vacances et les beaux jours d'été. Je ne suis pas un grand fana de soleil, mais je dois avouer que de temps à autre sa présence est rassurante. Puis flâner dans les fleurs bleues a du bon, même si coincé dans mon appartement, je suis bien loin des grands lacs et des fleurs bleues de mon enfance.

D'ailleurs en parlant d'enfance, je me souviens encore des ces journées que je passais au lac, que ce soit l'étais où l'eau était des plus rafraichissante que l'hiver, où recouvert de glace le lac se transformait en patinoire géante pour mon plus grand plaisir.

Ah que les souvenirs sont bons, au bord de la fenêtre avec une bonne cigarette qui se consume lentement dans le cendrier. J'ai vraiment le sourire jusqu'au lèvres aujourd'hui. Il ne me reste plus qu'a m'allonger sur le dos, oublier les immeubles avoisinants et retournez dans ma tendre enfance. La France est un beau pays, mais il faut quand même le dire, c'est fou comme l'Allemagne me manque.

Soirée nostalgie

Je ne sais pas si il est vraiment possible pour moi de raconter ma vie de manière poétique ou romantique, mais ce soir je suis vraiment d'humeur. Je plane dans une sorte de nostalgie permanente, ramenant de temps à autre les relents d'un passé douloureux et par moment les joies éphémères de bonheur perdu. Quand la nostalgie me gagne, je suis vraiment plongé dans un bulle impénétrable.

Je revoie avec amour son visage, depuis trop longtemps disparu. C'est difficile de penser que jamais plus je ne pourrais revoir ce sourire. Et pourtant, cela fait déjà quelques années qu'il m'a laissé derrière lui, mon ami, mon frère de cœur, bien qu'il aurait pu l'être de sang. C'est fou comme en quelques secondes, tout peut disparaitre. Tout ca à cause de la folie des hommes, qui jamais ne se demande ce que leur actes peuvent avoir comme conséquences. D'ailleurs cette nuit là, un homme s'est cru suffisamment grand pour penser qu'il ne se passerais rien si il grillait un feu rouge, mais un fois encore en sa condition d'homme il a sous-estimé les répercussions de son acte. Et sans même se retourner, il nous a laisser à demi-mort derrière lui.

Enfin bon, que de souvenir pour une si douce soirée. J'ai vraiment du mal à y croire, j'ai encore du mal à m'y faire, mais les faits sont là et les nier serait-il s'enfermer dans le passé ?

Enfin, encore une fois je vais me laisser bercer par les étoiles et le temps va faire son œuvre. La nostalgie n'a rien de bon finalement, elle nous permet juste de vivre à nouveau dans un passé qu'il faudrait mieux oublier. Que ce soit les sourires, les bons moments ou encore les plus tristes, je me fait chaque à l'idée que mon passé bien que toujours présent ne me rattrapera jamais. Tout ce qu'il me reste à faire, c'est avancer.